Comment fait-elle, Virginie Despentes, pour écrire autant de vies avec autant de langues, de destinées, de soubresauts, d'arrêts brutaux ou d'espérances folles ? L'eau fraîche, les odeurs, les parfums, les musiques, les psaumes de la nuit ne lui échappent jamais. Les sexes dans les pantalons, les désirs dans les vêtements, les crises , les doutes, tout cheZ Despentes vient comme une évidence. Marc Lavoine, Libération.